19 décembre 2010
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Cet avion fut l'un des chasseurs les plus emblématiques de la guerre du Pacifique. La
conception du Corsair commença début 1938 suite à une spécification de l'US Navy destinée à remplacer le F4F Wildcat. Le prototype XF4U-1 vola pour la première fois en mai 1940 et fut mis en
service en 1942 après avoir subit de très nombreuses modifications. Finalement une première commande de 584 exemplaires fut passée le 30 juin 1941 et le premier appareil de production sortit un
an plus tard. Le Corsair eut son baptême du feu le 13 février 1943 à Guadalcanal.
L’aile du Corsair formait un W aplati, il avait un fuselage profilé de forme circulaire et
une grande hélice. Le cockpit était placé très en arrière et le manque de visibilité constituait un sérieux problème. Il était rapide, mais connaissait aussi quelques problèmes de manipulation
Cette "aile de mouette inversée" permettait de rapprocher le train d'atterrissage du sol sans l'allonger excessivement, et donc de le rendre plus résistant pour les appontages, et cela malgré une
hélice de grand diamètre. Enfin, l'aile en W permettait un raccord au fuselage à 90°, ce qui augmente la visibilité depuis le cockpit.
C'est l'un des appareils les plus connus de la Seconde Guerre mondiale, notamment grâce à la
série télévisée Les têtes brûlées.
Cricrimary
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Technique
12 décembre 2010
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Livraison de l'A380 à Air France (tel est le titre de la vidéo)
Joli reportage sur notre bel avion, un demi-tour sur la raquette et un alignement avant
décollage, un peu longue la vidéo, mais c’est du direct, alors patience (sourire)…
Bonne journée,
Chris
Cricrimary
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25 novembre 2010
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Trois musées à voir pour les amoureux de l'aviation…
Les 3 photos suivantes sont prises sur
des aérodromes qui ont un musée dans leurs murs…
Un T6 au musée de la Ferté Alais, bonne réponse de Zouzounette40 (Cerny)...
Un ATR devant le beau musée
d'Angers Marcé, bonne réponse de Kinou31-36 au pif (sourire)...
Jaguar dans le Musée militaire, sur la base de Chateaudun...
Bonne nuit, Chris
Cricrimary
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23 novembre 2010
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Aujourd’hui un peu de technique aéronautique…
L'Antonov An-225 Mriya (« le rêve » en ukrainien).
C'est à l'heure actuel le plus gros avion au monde en service, il n'en existe qu'un seul
exemplaire et il est exploité par Antonov Airline pour des missions de transports exceptionnels (l’An-225 sur l’aéroport de Gostomel). Mriya a maintenant le drapeau Ukrainien de peint sur sa
dérive et est enregistré sous le nom UR-82060. De plus, il a subites quelques modifications telles que l'ajout de nouveaux systèmes de sécurité, de navigation et de communication. D'après le
constructeur le fuselage a été renforcé pour supporter des charges utiles plus lourdes. Enfin, il a été équipé avec un nouveau cockpit et une nouvelle cabine de passagers. Ces améliorations ont
coûtées plus de 20 millions de dollars en 2000.
Cet immense porteur est capable de transporter un cargo de 250 tonnes, dans une soute de
plus de 40 mètres de long, de 6,5 mètre de large et de 4,4 mètres en hauteur !
Porter ce gros avion nécessite 32 roues !
Un deuxième appareil était en assemblage dans les années 80, mais son montage a été stoppé
en 1994. Malgré les nombreuses rumeurs sur la reprise de la construction de ce dernier il n'est toujours pas terminé.
Bonne journée, Chris
Une vidéo tournée par les russes, ce qui est très rare…
Cricrimary
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18 novembre 2010
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Aujourd’hui un peu de ma passion…
La manoeuvrabilité du Rafale, notre bel avion
Français…
L’abandon du système hydraulique
au profit de commandes de vol électriques sur un avion de chasse remonte pour la première fois aux années 1970, avec les F-15 Eagle et F-16 Falcon. Dassault intègre ensuite cette technologie en
1978 sur le Mirage 2000 : c’est le premier avion européen doté de cette technologie. Toute transmission hydraulique ou mécanique est supprimée entre les commandes de vol et les gouvernes, les
ordres du pilote étant en permanence filtrés et ajustés par des calculateurs afin d’appliquer aux gouvernes la meilleure action. Les commandes de vol électriques permettent de réduire
substantiellement la charge de travail de l’équipage pour ce qui concerne le pilotage de base de l’appareil, notamment lorsqu’il se rapproche de ses limites de domaines de vol. C’est donc un
pilotage « assisté ».
Bonne journée, Chris
Cricrimary
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28 septembre 2010
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Aujourd’hui, un hommage à nos illustres voitures et motos (salon
Rétromobile)...
Bonne journée, Chris
Cricrimary
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26 septembre 2010
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Réponse à la question d’hier, ce sont tous des présidents sous la Cinquième
République
F-GCDG = Charles de Gaulle
F-GXGP = Georges Pompidou
F-GVGE = Valery Giscard
d’Estaing
F-GGYFM = François Mitterand
F-GZJC = Jacques Chirac
F-GPNS = Nicolas Sarkosy
L’immatriculation à trouver était donc F-GPEL
Bonne journée, Chris
Cricrimary
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25 septembre 2010
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Un avion a besoin de se refaire une beauté, le voici prêt pour la peinture, mais quelle est
son immatriculation, je vous en donne sept (un indice, vous pouvez la retrouver dans un de mes articles)
F-GPNS, F-GCDG, F-GYFM, F-GZJC, F-GPEL, F-GXGP, F-GVGE
Petite question subsidiaire, ces immatriculations ont une particularité,
laquelle ???
Réponse demain,
bonne journée, Chris
Cricrimary
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2 août 2010
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04:17
Ma maquette SOPWITH CAMEL, arbore fièrement les couleurs britanniques :
Des cocardes
rouge-blanc-bleu
La partie motrice était laissée
couleur métal, les ailes et empennages entoilés étaient jaunes et l’arrière du fuselage beige.
Un peu
d’histoire :
Le SOPWITH CAMEL fut un avion de chasse
britannique de la Première Guerre mondiale propulsé par un moteur français, équipé de 2 mitrailleuses Vickers 0.303 (7,62 mm) montées devant l'habitacle, synchronisées à travers l'hélice et
couvertes par un capot de carénage. C’est le carénage en bosse qui lui valut le surnom de « chameau ».
Le Sopwith Camel fut sûrement le
meilleur avion construit par le bureau d'étude de Sopwith. Environ 6 000 Sopwith Camel ont été produits à partir du 22 décembre 1916. Le moteur rotatif était un Gnome à 9 cylindres de 150
chevaux (110 kW). Il était capable d'atteindre la vitesse de 185 km/h.
La force gyroscopique du moteur rotatif
rendait le pilotage difficile pour un débutant (beaucoup sont morts lors d'une mauvaise approche à l'atterrissage), l'avion étant naturellement instable, ce qui obligeait les aviateurs à
compenser tout au long du vol pour rester stable et droit, mais facilitait le virage du côté de rotation du moteur (il a été dit qu'un virage de 270° vers la droite était plus avantageux qu'un
virage de 90° à gauche).
Cette agilité dans les combats du Sopwith Camel donna une certaine supériorité aux Alliés dans les combats aériens.
Entre le 4 juillet 1917 (date d'entrée
dans le conflit) et le 11 novembre 1918 (date de l'armistice), les Sopwith abattirent 1 294 avions ennemis.
Cricrimary
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1 août 2010
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05:33
Bonjour à toutes et tous, Chris
Ma maquette est le SPAD S.XIII, il est aux couleurs d’Eddie Rickenbaker, célèbre américain du 94e Aéro Squadron de l’U.S. Army Air Service
qui comptabilisa 26 victoires pendant la Grande Guerre.
Son SPAD porte son insigne : « Ring in the Hat »
Le SPAD S.XIII était un avion
légendaire français, biplan de chasse monoplace de la Première Guerre mondiale conçu par Louis Béchereau et fabriqué par la société SPAD. Le SPAD S.XIII était une version améliorée du SPAD S.VII,
ce qui fait que leur aspect extérieur était très semblable. Cet avion bénéficia de plusieurs améliorations par rapport à son prédécesseur, comme par exemple l'envergure (8.10 m) légèrement
augmentée ou encore un moteur plus puissant (vitesse exceptionnelle de 220 km/h). Ceci conduisit à améliorer sensiblement ses caractéristiques de vol, qui étaient déjà excellentes pour le SPAD
S.VII. De plus le S.XIII fut doté d'une deuxième mitrailleuse Vickers de 7.7 mm, ce qui en fit un chasseur redoutable apprécié des Américains, des Anglais et des
Italiens.
Après son premier vol, le 4 avril 1917,
les commandes de diverses armées de l'air commencèrent à affluer et dès fin mai 1917 les premiers S.XIII étaient opérationnels sur le front où ils remplacèrent rapidement les S.VII et les
chasseurs Nieuport.
Cricrimary
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